La marche du monde

Guillaume Ancel, écrire pour ne pas subir

Publié le :

Pourquoi briser le silence lorsqu’on a fait carrière dans l’Armée française, où l’on a commandé pendant plus de 25 ans au titre d’officier ? Pourquoi revenir sur son expérience militaire acquise à hauteur d’homme sur trois grands théâtres de la violence extrême : le Cambodge, l’ex-Yougoslavie et le Rwanda, alors qu’on a rempli sa mission ? Pourquoi écrire un livre, puis deux, puis trois, dans l’indifférence générale de l’opinion publique française et des partis politiques ?

Sarajevo, Guillaume Ancel, chef de TACP pour le guidage de frappe aérienne en 1995.
Sarajevo, Guillaume Ancel, chef de TACP pour le guidage de frappe aérienne en 1995. © Guillaume Ancel
Publicité

« Pour ne pas subir », répond Guillaume Ancel par le blog qu’il a créé sur internet, où il questionne le rôle de la France dans ses « OPEX », ses opérations militaires extérieures. Ce plaidoyer a pu contribuer à faire bouger les lignes, notamment sur le rôle de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda. En immersion par le son, nous explorons la mémoire de Guillaume Ancel, St-Cyrien de formation.

 

Blog Pour ne pas subir 

Livres de Guillaume Ancel préfacés par Stéphane Audouin-Rouzeau, aux éditions Les belles lettres.

  • « Un casque bleu chez les Khmers rouges »
  • « Rwanda, la fin du silence »
  • « Vent glacial sur Sarajevo ».

NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail

Suivez toute l'actualité internationale en téléchargeant l'application RFI

Voir les autres épisodes