IVG: quels sont les risques liés à un avortement non sécurisé pour la santé?
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Chaque année dans le monde, on compte environ 73 millions d’avortements provoqués. Or, si en France, l’IVG (interruption volontaire de grossesse) est dépénalisée depuis 1975, ce n’est pas le cas dans tous les pays, poussant des femmes à avoir recours à des avortements clandestins, non sécurisés.

Ainsi, selon l’OMS, environ 45% des avortements ne sont pas sécurisés et la grande majorité de ceux-ci (97%) a lieu dans les pays en développement. L’avortement non sécurisé constitue l’une des principales causes de décès maternels et de morbidité.
Quels sont les risques liés aux avortements non sécurisés et parfois non médicalisés pour la santé des femmes ? En quoi les lois autorisant l’avortement sont-elles de nature à protéger la santé des femmes ?
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Dr Danielle Hassoun, gynécologue obstétricienne à Paris, elle a été responsable du Centre d’IVG de l’Hôpital Delafontaine à Saint-Denis
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