Kwandza au Gabon, khessal au Sénégal, akonti au Togo, tchacho au Mali, décapage au Niger… Autant d’appellations qui traduisent l’ampleur du phénomène de blanchiment volontaire de la peau dans toute l’Afrique. Malgré les mises en garde, les graves conséquences sur la santé, les quolibets dont on affuble les adeptes, la dépigmentation artificielle est un business florissant qui ne finit pas de gagner le continent.

Comment expliquer cette obsession à se blanchir la peau ? Que font les pouvoirs publics pour juguler ce problème de santé publique ?
Avec la participation de :
- Astou Diouf, dermatologue à l’Hôpital Institut d’hygiène sociale de Dakar, présidente de l’Association internationale d’informations sur la dépigmentation artificielle
- Aude Magaly Mbenzu, fondatrice de ITSINA Cosmétiques en RDC
- Hannelore Ver-Ndoye, enseignante diplômée en Sciences sociales et auteure du livre « Décolorés, un panorama de la dépigmentation volontaire de la peau ».
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