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Nouvelle-Calédonie: «Il faut arrêter la machine de destruction, de souffrance et de mort»

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Près de deux jours après les annonces d'Emmanuel Macron en Nouvelle-Calédonie, le président français, en quête d'apaisement, a promis de ne pas passer en force sur la réforme du Code électoral. Il a demandé aux responsables politiques de l'archipel de négocier un accord global sur l'avenir de la Nouvelle-Calédonie. Trois mille policiers et gendarmes restent déployés, sept morts sont à déplorer, les barrages sont encore en place et les violences perdurent. Entretien avec Philippe Gomes, élu au Congrès de la Nouvelle-Calédonie et fondateur du parti Calédonie Ensemble.

Une rue bloquée à Nouméa, le 23 mai 2024.
Une rue bloquée à Nouméa, le 23 mai 2024. © AP/Ludovic Marin
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