
Les déserteurs des JO
Pour la plupart des athlètes, les Jeux olympiques sont l’occasion d’entrer dans la légende et de marquer l’Histoire de leur nom. Pour d’autres, celle d’entrer dans l’oubli et de fuir leur pays. Tout l’été, RFI vous fait découvrir l’histoire de ces athlètes qui ont profité des Jeux olympiques pour ne pas rentrer dans leur pays d’origine. De 1948 à 2021, ces déserteurs olympiques racontent une histoire parallèle des JO, où les destins individuels s’entrechoquent souvent avec le cours de l’Histoire.Diffusion : du 8 au 26 juillet, du lundi au vendredi à 5h20 TU
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Le boxeur afghan Jawid Aman Mukhamad, disparu du ring
C’est l’un des deux seuls athlètes afghans présents aux Jeux olympiques de 1996, organisés à Atlanta, aux États-Unis. Le boxeur Jawid Aman Mukhamad n’a même pas pu participer aux épreuves qualificatives de sa catégorie. Mais il a profité des JO pour fuir le régime taliban. C’est le tout dernier épisode de notre série sur les déserteurs olympiques.26/07/202402:35 -
Deogracias Asuncion, le pistard philippin évaporé avec son vélo
L’histoire de Deogracias Asuncion est intimement liée à celle de l’équipe cycliste philippine du début des années 1980. Lors des JO de Los Angeles, en 1984, toute l’équipe décide de rester aux États-Unis. Une désertion plutôt inattendue.25/07/202402:42 -
Andras Toro, le kayakiste hongrois qui rêvait d'Amérique
Huit ans après la grande défection hongroise aux JO de Melbourne de 1956, l’athlète Andras Toro fait défection aux Jeux de Tokyo de 1964. Spécialiste du canoë, il demande l'asile aux États-Unis et devient ingénieur naval dans le Michigan. Treizième épisode de notre série estivale sur les déserteurs olympiques.24/07/202402:33 -
La spécialiste de luge est-allemande Ute Gähler
Ute Gähler est l’une des seules déserteuses olympiques à avoir disparu lors des Jeux olympiques d’hiver ! C’est à Innsbrück en 1964 que cette spécialiste de luge est-allemande disparaît, avant même de commencer les épreuves. C’est le douzième épisode de notre série sur les incroyables destins des déserteurs olympiques.23/07/202402:44 -
Le judoka guinéen Facinet Keita
Facinet Keita est un judoka guinéen. C’est l’un des 82 athlètes à avoir déserté lors des Jeux olympiques de Londres. Contrairement à d’autres, sa demande d’asile a été un parcours du combattant. Son histoire est le dixième épisode de notre série Déserteurs olympiques, une histoire parallèle des JO.19/07/202402:51 -
Le Hongrois Mihály Iglói, génie de l’athlétisme
Le Hongrois Mihály Iglói s’est d’abord illustré au saut à la perche avant de devenir un expert de course à pied. Comme une quarantaine d’athlètes hongrois à l’époque, il profite des Jeux olympiques de Melbourne, en 1956, pour fuir son pays, qui subit la répression soviétique après l'insurrection de Budapest. Après 14 ans aux États-Unis, il rejoint finalement l’Europe. C’est le neuvième épisode de notre chronique Déserteurs olympiques, une histoire parallèle des JO, par Cécile Debarge.18/07/202402:48 -
Le lutteur tunisien Hassene Fkiri s'installe en Australie
Juste après les Jeux Olympiques de Sydney, en 2000, au moins 35 athlètes demandent l’asile. Parmi eux, le lutteur tunisien Hassene Fkiri qui rejoint ensuite l’équipe nationale australienne. Quarante-quatre ans après les Jeux olympiques de Melbourne, son histoire raconte aussi comment les défections de sportifs sont désormais redoutées par les autorités.17/07/202402:38 -
La gymnaste hongroise Ágnes Keleti
La gymnaste Ágnes Keleti fait partie de la quarantaine d’athlètes hongrois qui font défection lors des JO de Melbourne de 1956. Contrairement à la plupart de ses compatriotes, elle reste en Australie, y passe quelques mois avant d'en repartir : Allemagne, Israël, puis le retour en Hongrie où elle vit aujourd’hui. C'est le septième épisode de notre série « Déserteurs olympiques, une histoire parallèle des JO ».16/07/202402:41 -
L'haltérophile irakien Raed Ahmed
Nous poursuivons notre série sur les athlètes qui ont profité des JO pour fausser compagnie à leur pays d’origine avec Raed Ahmed. Cet Irakien fut le porte-drapeau de sa délégation lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques d’Atlanta en 1996. Sa désertion est digne d’un roman d’espionnage et raconte l’influence des groupes de dissidents irakiens en exil, entre les deux guerres du Golfe.15/07/202402:41 -
Le plongeur soviétique Serguey Nemtsanov
En 1976, le jeune plongeur soviétique Serguey Nemtsanov demande l’asile au Canada, où se déroulent les Jeux olympiques. Il renonce finalement deux semaines plus tard, après avoir déclenché un incident diplomatique en pleine période de détente entre les pays occidentaux et l’URSS.12/07/202402:46 -
L’haltérophile ougandais Julius Ssekitoleko
Lors des Jeux Olympiques de Tokyo, en 2021, l’haltérophile ougandais Julius Ssekitoleko disparaît du centre d’entraînement d’Izumeno. Il est finalement retrouvé trois jours plus tard et renvoyé en Ouganda.11/07/202402:36 -
Daniel Magay, l’ancien enfant prodige de l’escrime hongroise
Troisième épisode de notre série consacrée aux histoires incroyables de tous ces sportifs et sportives qui, dans l’Histoire, ont profité des JO pour fausser compagnie à leur pays d’origine. Les Jeux olympiques de Melbourne de 1956 ne sont pas encore finis lorsqu’à Budapest, les troupes soviétiques reprennent le contrôle du pays et mettent fin à la révolution hongroise. Daniel Magay et une quarantaine d’autres athlètes décident alors de faire défection.10/07/202402:46 -
Le boxeur camerounais Christian Donfack Adjoufack
Deuxième épisode aujourd'hui de notre série consacrée aux histoires incroyables de tous ces sportifs et sportives qui, dans l’Histoire, ont profité des JO pour fausser compagnie à leur pays d’origine. Aujourd'hui, l’un des mouvements de désertion olympique les plus importants de l’histoire moderne des Jeux Olympiques. En 2012, à Londres, au moins 82 athlètes restent en Angleterre après les épreuves. Parmi eux, Christian Donfack Adjoufack qui a disparu avec toute l’équipe de boxe du Cameroun.09/07/202402:43 -
La gymnaste tchécoslovaque Maria Provaznikova
Les Jeux olympiques de Londres de 1948 sont les premiers organisés après la Seconde Guerre mondiale. Dans une Europe en pleine reconstruction, la responsable sportive de l’équipe tchécoslovaque de gymnastique Maria Provaznikova annonce publiquement, qu’elle ne rentrera pas à Prague. Elle est considérée comme la toute première d’une longue série de déserteurs olympiques.08/07/202402:42

Pour la plupart des athlètes, les Jeux olympiques sont l’occasion d’entrer dans la légende et de marquer l’Histoire de leur nom. Pour d’autres, celle d’entrer dans l’oubli et de fuir leur pays. Tout l’été, RFI vous fait découvrir l’histoire de ces athlètes qui ont profité des Jeux olympiques pour ne pas rentrer dans leur pays d’origine. De 1948 à 2021, ces déserteurs olympiques racontent une histoire parallèle des JO, où les destins individuels s’entrechoquent souvent avec le cours de l’Histoire.
Diffusion : du 8 au 26 juillet, du lundi au vendredi à 5h20 TU