Après le cessez-le-feu concédé à Genève par les belligérants, la réunion de Tunis est un espoir d’avancer sur le plan politique. Si la première semaine s’est conclue sans accord global, elle a acté des avancées notamment sur le plan des élections. Mais, la question des milices étrangères reste entière et la contestation populaire, observée ces dernières semaines, dans les grandes villes du pays, pourrait déboucher sur une reprise des combats. Analyse de Jalel Harchaoui, chercheur à l’Institut CLINGENDAEL à La Haye.
