Chaque année dans le monde, on compte environ 73 millions d’avortements provoqués. Or, si en France, l’IVG (interruption volontaire de grossesse) est dépénalisée depuis 1975, ce n’est pas le cas dans tous les pays, poussant des femmes à avoir recours à des avortements clandestins, non sécurisés.

Ainsi, selon l’OMS, environ 45% des avortements ne sont pas sécurisés et la grande majorité de ceux-ci (97%) a lieu dans les pays en développement. L’avortement non sécurisé constitue l’une des principales causes de décès maternels et de morbidité. Quelles sont les conséquences pour la santé des femmes ? Régulièrement menacé, où en est le droit à l’avortement dans le monde ?
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Dr Danielle Hassoun, gynécologue obstétricienne à Paris, elle a été responsable du Centre d’IVG de l’Hôpital Delafontaine à Saint-Denis
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Pr Christiane Tshabu Aguemon, cheffe de service adjointe de la Clinique universitaire de gynécologie et d’obstétrique du Centre national hospitalier et universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou, au Bénin
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Christophe Paget, journaliste à RFI, sur la situation aux États-Unis et au Mexique
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Dr Estelle Pasquier, chercheuse d’Epicentre/MSF qui a co-dirigé l’étude AMoCo sur la sévérité des complications d’avortements dans les contextes de conflits (Bangui) ou d’extrême fragilité (Jigawa State au Nord-Nigeria).
La programmation musicale :
► Clara Luciani – La grenade.

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