« Ne pas utiliser les formes orales des médicaments vasoconstricteurs pour soulager les symptômes du rhume » : c’est l’Agence Nationale du médicament et des Produits de Santé (ANSM) qui a émis le 1er décembre cet avis, à l’issue d’un rapport en matière de pharmacovigilance, une recommandation liée au risque d’effets indésirables possiblement graves pour les patients.

Inscrite sur la notice d’un médicament, la liste des effets indésirables est élaborée avant même que le médicament ne soit mis sur le marché, et après avoir fait l’objet de tests d’efficacité et de toxicité. Si cette liste peut paraitre longue, il n’est cependant pas systématique de développer des effets indésirables à la suite de la consommation de médicament.
Mais que se passe-t-il lorsque le médicament censé soulager le patient déclenche de nouveaux symptômes ? Que faire quand on observe un effet indésirable qui n’est pas recensé ?
- Pr François Chast, Pharmacien des Hôpitaux, Président honoraire de l’Académie nationale de Pharmacie. Président du Comité opérationnel « Qualité des soins, vigilances, gestion des risques sanitaires, relations avec les usagers » de l’Hôpital Universitaire Necker - Enfants malades
- Dr Prosper Hiag, Vice-président de la Fédération internationale pharmaceutique (FIP) et ancien président du Conseil National de l’Ordre des Pharmaciens du Cameroun
-
Georges Alexandre Imbert, Président de l’Association nationale de défense des intérêts des victimes d’accidents des médicaments (AAAVAM)
-
Michel Sidibé, envoyé spécial de l'Union Africaine pour l'Agence Africaine du Médicament et Ancien directeur exécutif de l’ONUSIDA
Programmation musicale :
► Christine Salem – Mikonépa
► Ann Shirley – Ayo
NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail
Je m'abonne