Trois ans après le succès de son premier album « Cure », Eddy de Pretto revient avec « À tous les bâtards », un opus toujours aussi singulier et intime qui navigue entre le beau et le bizarre, la gaieté et la mélancolie.
« Le beau est toujours bizarre », écrivait Charles Baudelaire. Et ce n’est pas notre invité d’aujourd’hui qui nous dira le contraire, tant il a su tirer parti de sa différence. Il en a même fait une profession de foi sur son deuxième album, sur lequel on retrouve cette poésie urbaine à travers laquelle il parle de notre monde qui ne tourne pas toujours rond, de ses tourments et questionnements intimes, de son parcours et de sa création. Un album sans doute un peu plus solaire et chaleureux que le précédent. 15 titres souvent mélancoliques, entre son groove et un parlé-chanté qui monte parfois dans les aigus. Trois ans après son 1er album, « À tous les bâtards », le nouvel opus d’Eddy de Pretto, est disponible chez Initial.
Café Gourmand :
- Amélie Beaucour a lu la bande dessinée « Le Tambour de la Moscova », parue aux éditions Le Lombard
- Marjorie Bertin nous fait découvrir le livre Fleurs, de Marco Martella, publié aux éditions Actes Sud
- Alain Pilot a rencontré Gorka Robles, chanteur ténor, animateur sur France Bleu Pays Basque et Bertrand Hirribaren, éditeur, pour le livre disque « Une chanson une histoire du Pays Basque », aux éditions Atlantica.
- José Marinho s’est intéressé à Diggers factory, une équipe qui exhume de vieux disques oubliés et presse les vinyles. Le site de Diggers factory.
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