Pierre Péju revient cette fois-ci avec un recueil de nouvelles. Un essai déguisé où se mêlent trois récits qui se font écho et propulse le lecteur dans une réflexion sur la littérature, l'identité, l'art et la mort.
Ses talents de conteur ne sont plus à démontrer. Il nous fait découvrir la voix d’une enfant qui avait perdu la sienne dans « La Petite Chartreuse », nous a dépeint l’horreur de la guerre avec poésie dans « Le Rire de l’ogre », nous a même parlé de dieu dans l’État du Ciel. Finalement pas si surprenant comme thématique pour celui qui est aussi philosophe.
Cette fois-ci, il empile aussi sa troisième casquette, celle d’essayiste pour nourrir sa nouvelle œuvre, une fiction pourtant. Pierre Péju nous propulse avec fracas au milieu de trois univers bien différents. Il vient de publier un recueil de nouvelles intitulé « Effractions », publié aux éditions Gallimard.
Reportage : la Biennale internationale d’Art contemporain de Dakar se poursuit jusqu’au 21 juin 2022. En parallèle, il y a le programme « off », où est présentée l'exposition « Onomatopées, foo ma toppé ? » - ce qui signifie « pourquoi tu me suis » ? ou « pourquoi tu me colles à la peau ? ». Un projet pluridisciplinaire qui met en lumière les principales onomatopées et interjections utilisées au Sénégal. Charlotte Idrac l'a visitée pour VMDN.
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