Lous and the Yakuza, son talent ne change pas d'un Iota

Deux ans après «Gore», Lous and the Yakuza revient avec un nouvel album «Iota» qui évoque de ses relations, familiales, amicales et amoureuses, parfois compliquées. Dans ce disque de 30 minutes, la chanteuse belgo-congolaise nous propose 12 titres colorés, aux styles variés, influencés par la pop et le R'n'B. 

Lous and the Yakuza présent eson nouvel album «Iota». © Columbia Records - Sony Music

Son premier album «Gore» a ouvert à cette artiste belge, congolaise et rwandaise, les scènes d’Europe et d’Amérique, en solo ou même en première partie d’Alicia Keys, de Coldplay, ou encore de Gorillaz. 

Il faut dire qu’elle en a fait du chemin cette jeune fille qui a connu la rue. Elle est aujourd’hui – à côté de ses activités d’autrice-compositrice-interprète - mannequin et égérie d’une grande marque de maroquinerie et de prêt-à-porter de luxe.

Porte-voix de l’afro-féminisme et de la lutte contre le racisme, traductrice de poésie, peintre qui expose et bientôt romancière, Lous and the Yakuza vient nous présenter son deuxième album. Il s'agit de 12 titres colorés aux paroles franches et directes, qui se baladent entre les rythmes et les styles. « Iota » est disponible chez Columbia Records/Sony Music.

Au menu du Café Gourmand :

• Marjorie Bertin est allée voir la pièce d’actualité n°18 : « Le Journal d’une femme nwar » de Matthieu Bareyre. Une pièce à voir jusqu’au 20 novembre 2022 à La Commune, dans le cadre du Festival d'Automne.

• Amélie Beaucour présente la nouvelle édition du Festival itinérant « Montagne en scène ». On y retrouve des films sur le thème des sports de montagne : ski, snowboard, alpinisme, escalade, ultra-trail, kayak, parapente etc.

• Edmond Sadaka a assisté à La Seine Musicale à la nouvelle adaptation du célèbre Opéra Rock « Starmania », initialement créé par Michel Berger et Luc Plamondon. C'est le metteur en scène Thomas Jolly qui nous offre cette nouvelle version à Boulogne-Billancourt.