Jean-Marie Gustave Le Clézio, les indésirables en lettres d'or
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Le Prix Nobel de Littérature en 2008 revient aujourd'hui avec un recueil de huit nouvelles qui mettent en lumière les « indésirables ». Par sa plume et son humanisme, Jean-Marie Gustave Le Clézio donne voix aux exclus, aux opprimés d'un monde souvent hostile. Pour que la littérature devienne une impulsion vitale à la vie.

Quand est paru son premier roman Le Procès-verbal, Jean-Marie Gustave Le Clézio avait seulement 23 ans. Un choc littéraire qui a failli – à la voix prépondérante du président près – être d’emblée couronné par le jury du Prix Goncourt. Il eut finalement le prix Renaudot, avant de recevoir le Prix Nobel de Littérature en 2008.
C’est dire si Jean-Marie Gustave Le Clézio, dont la parole est aussi rare que la plume est belle, est l'une des figures majeures de la littérature française contemporaine. Après une bonne trentaine de romans et une dizaine d’essais, le voici de retour en librairie avec un recueil de huit nouvelles autour de ceux qu’il appelle les «indésirables», les étrangers qu’on ignore, les opprimés et les exclus, les enfants de la guerre ou prisonniers dans des camps d’esclaves.
À travers ses mots et sa langue si pure, il leur donne un nom, un visage, une identité et en quelque sorte leurs lettres de noblesse. Avers, des nouvelles des indésirables est paru aux éditions Gallimard.
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