«Veiller sur elle» de Jean-Baptiste Andrea, un destin gravé dans le marbre
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Le quatrième roman de Jean-Baptiste Andrea offre une fresque de presque 600 pages qui nous plonge dans l'Italie de la première moitié du XXè siècle. Un roman émouvant qui embrasse le destin d'une statue mystérieuse et de deux personnages qui ne devaient pas se rencontrer.

En voilà un qui sait raconter des histoires. Il a commencé à l’écran, comme scénariste et comme réalisateur. Il a continué en écrivant des romans. Le quatrième vient de sortir toujours chez le même éditeur. Il figure sur plusieurs listes de prix, et ses personnages ont déjà conquis les libraires et les lecteurs, jusqu’à devenir un des grands succès de la rentrée littéraire.
Il faut dire que Jean-Baptiste Andrea a l’art de façonner des personnages forts, de charpenter un récit, et de lui imprimer un puissant souffle romanesque. Un talent qui le rend tour à tour – et parfois en même temps - alerte, poignant, drôle et pour tout dire passionnant.
Une fresque grandiose de quelque 580 pages d’émotions pour embrasser deux vies tumultueuses : celle de Mimo, modeste orphelin de père devenu sculpteur de génie, et celle de Viola, fille rebelle d’une famille de patriciens sur fond d’Italie mussolinienne.
Son roman « Veiller sur elle », de Jean-Baptiste Andrea est paru aux éditions de l’Iconoclaste.
Reportage : Laura Dulieu a lu la bande dessinée « Le grand incident », de Zelba, publiée aux éditions Futuropolis. L’histoire de la disparition de toutes les femmes nues dans les œuvres. Elles se dérobent au regard des visiteurs car elles ne supportent plus les réflexions, voire les attouchements, dont elles sont victimes au quotidien. Le président-directeur du musée doit se résoudre à fermer le musée, le temps de trouver une explication rationnelle à cette situation irrationnelle.
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