Invité international

«La baisse du prix du pétrole traduit l’inquiétude générale d’une baisse de l’activité»

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Les bourses du monde entier dégringolent à nouveau ce lundi. La faute au coronavirus mais aussi à une baisse annoncée des prix du pétrole par l'Arabie saoudite, qui n’a pas réussi à s’entendre vendredi avec la Russie sur une réduction de la production. L’analyse de l’économiste Jean-Pierre favennec, professeur à l'Institut français du pétrole à l'université Paris Dauphine et à Sciences Po.

À la crise du coronavirus s'ajoute une crise pétrolière massive.
À la crise du coronavirus s'ajoute une crise pétrolière massive. REUTERS/Jessica Lutz
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« Dès que la crise du coronavirus sera passée, on va revenir à une activité normale. Il y aura peut-être même un petit aspect de rattrapage. On devrait revenir, pour le pétrole, à des prix un peu plus normaux – autour de 60 ou 65 dollars le baril – et avoir des bourses qui remontent. »

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