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Tous tatoués ? : l’ascension sociale du tatouage

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On le trouve niché sur un biceps, une cuisse ou encore au creux d’un poignet... Le tatouage est à la mode. Il recouvre aujourd’hui de nombreuses peaux et son histoire, loin d’être récente, s’étend sur plusieurs millénaires, de l'homme préhistorique Ötzi aux guerriers Māoris en Nouvelle-Zélande… 

Comment s’est opérée la démocratisation du tatouage, cette pratique marginalisée ?
Comment s’est opérée la démocratisation du tatouage, cette pratique marginalisée ? © Annie Spratt/Unsplash
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Dans les pays occidentaux, le tatouage a longtemps été l’apanage de ceux qui sont en marge de la société, les outsiders, bagnards et autres prisonniers. Il est aujourd’hui davantage accepté, notamment dans la sphère professionnelle.

Parfois réalisé pour des raisons esthétiques, le tatouage revêt également une dimension politique. Comment s’est opérée la démocratisation de cette pratique marginalisée ? Qui sont celles et ceux qui tatouent et comment conçoivent-ils leur métier ? Comment œuvrent-ils à faire du tatouage une pratique inclusive de toutes les peaux ?

Avec

Un entretien avec Najet Benrabaa, correspondante de RFI en Colombie : Tous tatoués ? : l’ascension sociale du tatouage. 

Et en fin d’émission, premier épisode de notre série de reportages Le succès des repats par Charlie Dupiot.

Ils sont Gabonais, Camerounais, Congolais. Ces hommes et ces femmes sont partis étudier, voire travailler, à l'étranger, en France et ailleurs. Mais ils et elles ont choisi de revenir dans leur pays d’origine pour contribuer à son développement, et partager ce qu’ils ont appris ! On les appelle les « repats » : « repats » pour « repatriés ».

Notre reporter Charlie Dupiot donne la parole à 20 d'entre eux, dans une toute nouvelle série de portraits réalisés dans trois pays : le Cameroun, le Gabon et la République démocratique du Congo. C'est Le succès des repats ! 

Le premier portrait de cette série Le succès des repats est celui de Laika Mba. On l'appelle aussi « DG », pour « directrice générale » : c'est le poste qu'elle occupe au sein de ST Digital Gabon, la filiale gabonaise d'un groupe implanté dans huit pays africains. Avec ses 15 salariés, elle accompagne des entreprises, que ce soient des grands groupes ou des PME (petites et moyennes entreprises), dans leur transformation digitale. Laïka Mba, 39 ans, est née à Libreville. Elle y a grandi, avant de partir faire ses études en France. Et de revenir... il y a dix ans. Talons aiguilles et sourire franc, elle accueille notre reporter Charlie Dupiot en pleine réunion d'équipe.

Programmation musicale :

► Jabo – BOJ & Odumodublvck 

►  March Am – Rema. 

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