Accents d'Europe

Recherche main-d'œuvre désespérément

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Les entreprises cherchent à embaucher, et dans certains secteurs, elles n'arrivent pas à trouver. Le phénomène est lié à la reprise, après les mois d'arrêt dus à la pandémie, mais pas seulement.

Le nouveau chef de l'opposition en Hongrie, Peter Marki-Zay, lors d'un entretien avec l'AFP à Budapest, le 18 octobre 2021.
Le nouveau chef de l'opposition en Hongrie, Peter Marki-Zay, lors d'un entretien avec l'AFP à Budapest, le 18 octobre 2021. © ATTILA KISBENEDEK/AFP
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La problématique existe depuis plusieurs années, en France notamment, mais les confinements sont passés par là. Et ceux qui travaillent interrogent de plus en plus leur rapport à l'emploi, leurs conditions de travail et leur salaire. Les secteurs les plus touchés sont le bâtiment, l’industrie, l’aide à domicile, mais aussi la restauration. Reportage dans le nord de la France de Lise Verbeke.

Comparativement, le Royaume-Uni semble plus durement touché par les manques de main-d’œuvre constatés en Europe. Pendant l’été et à l’automne 2021, on a pu voir des étagères de supermarchés clairsemées, des stations essence à sec à cause d’un manque de conducteurs de camion citernes et un mouvement de panique dans la population. On fait le point à Londres avec notre correspondante, Marie Billon.

 

Peter Marki-Zay, le candidat unique de l'opposition en Hongrie

En Hongrie, les partis politiques sont désormais en ordre de bataille pour les législatives d'avril 2022. L'opposition, de la gauche à l’extrême droite, s'est unie pour présenter un seul candidat, et c'est à Peter Marki-Zay qu'il revient de tenter de battre le Premier ministre sortant, Viktor Orban. Romain Lemaresquier.

 

La mer de Marmara transformée en mer de morve par la pollution

Au printemps et à l’été 2021, les habitants des rives de la mer de Marmara, en Turquie, ont vu se répandre sur leurs plages et dans leurs ports d’épaisses couches d’une mousse visqueuse dégageant des odeurs d’algues en décomposition. Cette substance végétale, le « mucilage », apparaît naturellement dans la mer de Marmara et à travers le monde. Mais cette fois, le phénomène a pris des proportions jamais vues en Turquie. En cause : la pollution intensive sur les rives de cette mer intérieure relativement petite. Si rien n’est fait, le phénomène se reproduira en s’aggravant, asphyxiant peu à peu la vie sous-marine et tarissant les ressources halieutiques dans ces eaux autrefois prodigues. À Istanbul, c’est un reportage d’Anne Andlauer.

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