Grande gagnante de la crise sanitaire et de ses confinements : l’industrie du jeu vidéo. Elle a explosé ces deux dernières années. En 2021, son chiffre d’affaires au niveau mondial s’élevait ainsi à 300 milliards d’euros. Soit plus que les recettes générées par le cinéma et la musique réunis. Cette industrie a commencé à décoller dans les années 70 en Amérique du Nord, puis en Europe de l’Ouest. Mais il y a un pan méconnu de cette histoire, celui qui s’est déroulé derrière le Rideau de fer, en Europe de l'Est, et notamment en RDA, l’ex-Allemagne de l’Est. Quand le jeu vidéo peut s'avérer très politique. Le reportage de Julien Mechaussie.

Le jeu vidéo: une industrie qui ne connaît pas la crise !
En Turquie, des entreprises se sont carrément spécialisées dans le secteur du jeu vidéo pour téléphone mobile. Avec 8 adultes turcs sur 10 qui sont adeptes de ce passe-temps, le secteur est extrêmement porteur. Des start-ups imaginent et développent des succès mondiaux, avant d’être rachetées par des géants du secteur, Anne Andlauer.
Le jeu vidéo est aussi devenu synonyme de garantie de trouver du travail. Dans le nord de la France, à Valenciennes, se trouve la première école française du jeu vidéo. Créée en 1988, Rubika, école de jeu vidéo, d'animation et de design, en fait régulièrement l'expérience, la plupart des étudiants qui terminent leur formation après 5 ans, trouvent un emploi dans le secteur. Le reportage de Lise Verbeke.
La chronique «C’est mon Europe» d’Alice Rouja se penche sur les geeks, les accrocs aux jeux vidéo. Et avant de se quitter, je vous propose une courte halte aux Pays-Bas.
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