Jusqu'au 12 décembre 2023, les Émirats Arabes Unis vont être au cœur des négociations climatiques mondiales. C'est la COP28. Ce sera notamment l'occasion de dresser un premier bilan de la conférence de Paris, la COP21. À l'époque, les 196 pays participants s'étaient engagés à contenir la hausse des températures sur notre planète.
Avec l'augmentation des températures, les catastrophes naturelles, elles, ont tendance à s'accentuer, qu'il s'agisse d'inondations ou d'incendies de forêt.
Exemple en Grèce.
Dans ce pays du pourtour méditerranéen, depuis des décennies, l'été est synonyme d'incendie. Mais, ces dernières années, la situation tend à empirer. L’été dernier, les flammes ont ainsi ravagé notamment le sud de l'île de Rhodes et la région d’Evros près de la frontière turque. Joël Bronner.
La COP28, organisée dans un pays pétrolier, suscite beaucoup de frustrations, beaucoup d'irritation. Plus largement, ONG et militants dénoncent l'inaction climatique dans nos sociétés. Certains activistes, poussés à bout, choisissent des modes d'action de plus en plus retentissants, au risque de se couper de l'opinion publique.
En Allemagne, les activistes climat réfléchissent aux moyens de revenir aux fondamentaux afin d'attirer plus de monde. Salomé Hénon-Cohin.
En un mot : Nasty party
Les élections générales auront lieu l'an prochain (2024) au Royaume-Uni, mais quand exactement ? Difficile à prédire... Le Premier ministre n'a pas fixé de date. Il faut dire que son parti est en difficulté : les Conservateurs ont perdu deux sièges importants, ces dernières semaines, lors d'élections partielles.
Des Conservateurs qui, face au danger, passent en mode électoral : le discours s'est durci, les petites phrases provocantes se multiplient. Bref, les Tories pourraient bien redevenir ce qu’on appelle outre-manche le « nasty party ». C'est notre chronique En un mot avec Marie Billon, à Londres.
Antonin Panenka, auteur d'un penalty de légende, fête ses 75 ans
La panenka, c’est un coup d'audace, un penalty utilisé par les plus grands noms du football. Et si ça s'appelle une panenka, c'est parce que ce geste porte le nom de son auteur, le Tchèque Antonin Panenka. Alexis Rozensweig
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