L’Intelligence artificielle, pour le meilleur et pour le pire
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L’Intelligence artificielle fait beaucoup parler d’elle depuis quelques années, en bien et en mal. Ainsi dans le domaine de l’information, où l’IA est de plus en plus utilisée pour produire et diffuser du faux : des montages photo, des « deepfakes » comme on dit, des armées de « bots », c’est-à-dire de robots qui animent de faux comptes sur les réseaux sociaux. L’IA facilite donc grandement la création de campagne de désinformation.

Et on l’a vu encore récemment lorsqu’on a démasqué un vaste réseau de médias inauthentiques générés par un logiciel. Les explications de Grégory Genevrier.
Mais bien sûr, l'Intelligence artificielle peut aussi avoir des applications bénéfiques pour l’humanité. Elle est, par exemple, désormais utilisée par des médecins en Irlande. Ça se passe à Dublin, à l'Hôpital public Mater : le premier du pays à utiliser l’IA, dans son service de radiologie. À ce jour, l’IA a été utilisée pour plus de 25 000 examens de patients qui sont ainsi mieux diagnostiqués. Le reportage de notre correspondante en Irlande, Clémence Pénard.
Portrait des oligarques russes
C’est une galerie de portraits glaçants que dresse pour Accents d’Europe, au micro de Frédérique Lebel, le journaliste et écrivain Christophe Boltanski dans le dernier numéro de la revue trimestrielle Kometa : il évoque les oligarques russes dans une série d’enquêtes intitulée « Les oligarques ont disparu ». Premier d’entre eux, et non des moindres, pour commencer : Igor Setchine, l’un des plus proches conseillers du président Vladimir Poutine.
Notez également que ces personnages qui ont fait la Russie contemporaine sont aussi le sujet d’un documentaire intitulé « Poutine et les oligarques ». Un documentaire de Paul Moreira diffusé par France Télévisions.

À écouter aussiAlexeï Kouzmitchev, un discret mais puissant magnat russe
Les difficultés de Rail Baltica
Nous prenons la direction des pays baltes pour clore cette émission. Où l’on reparle de « Rail Baltica », un grand projet de train reliant la Lettonie, l’Estonie et la Lituanie… Pour être reliée au reste de l’Europe, cette liaison ferroviaire devrait toutefois adopter la norme de ses rails, c’est-à-dire ce qu’on appelle « l’écartement » européen.
L’amélioration de l’infrastructure des pays baltes, voisins de la Russie, est un enjeu de sécurité. Et d’ailleurs le projet ferroviaire entre les trois pays est presque entièrement financé par l’Union européenne. Mais après de nombreuses années de tâtonnements, le projet accumule les retards. Reportage à Vilnius de Marielle Vitureau.
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