C'est pas du vent

On s'embrase mais on continue à s'envoyer en l'air

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Incendies au Nord, inondations au Sud... les conséquences du changement climatique créent le chaos dans de nombreux endroits du monde, mais cela n'empêche pas Boeing d'annoncer une hausse de 82% du nombre d'avions d'ici 2041. En cause, le tourisme de masse. Alors peut-on encore voyager sans culpabiliser ? 

On s'embrase mais on continue à s'envoyer en l'air
© Kevin Dietsch/Getty Images, via AFP
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Invités

- Joëlle Zask, philosophe auteure de Quand la forêt brûle : penser la nouvelle catastrophe écologique aux éditions Premier parallèle 

- Anthony Collin, directeur adjoint du Groupe de recherches sur le feu du CNRS

Guillaume Lescuyer, spécialiste des politiques forestières en Afrique Centrale au CIRAD

- Rodolphe Christin, auteur de La vraie vie est ici, voyager encore publié chez Ecosociété

- Sébastien Porte, auteur de Le dernier avion, comment le trafic aérien détruit l'environnement chez Tana Éditions.

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