C'est pas du vent

Partir ou rester: le dilemme des déplacés environnementaux

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Incendies, inondations, sécheresses, tempêtes, hausse du niveau de la mer... L'année 2023 bat tous les records en matière de catastrophes climatiques, ce qui entraîne des déplacements de populations surtout dans les pays les plus vulnérables. Comment garantir à ces personnes la protection de leurs droits fondamentaux ?

Des déplacés dans un camp à ciel ouvert après avoir fui leurs villages ravagés par les inondations, dans le district de Rubavu, le 3 mai 2023.
Des déplacés dans un camp à ciel ouvert après avoir fui leurs villages ravagés par les inondations, dans le district de Rubavu, le 3 mai 2023. © Jean Bizimana / Reuters
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Pour répondre à cette question, le Secours Catholique a mené une enquête pour étudier les impacts du changement climatique et de la dégradation de l'environnement sur la vie quotidienne et la mobilité des populations vivant dans des pays affectés comme le Bangladesh, le Honduras et le Sénégal. Résultats et témoignages.

 

Invités

- Marie Jobjoy, chargée de mission sur les questions de migration au Secours Catholique

- Catherine Wihtol de Wenden, docteur en Sciences politiques, directrice de recherche émérite au CNRS, spécialiste des migrations internationales

- Boubacar Seck de Caritas Sénégal au service des communautés pauvres et vulnérables du pays

- Shakirul Islam de OKUP, une organisation communautaire bangladaise dont la vocation est de créer un environnement favorable pour les travailleurs migrants  

- Mercy Ayala de ERIC, une organisation basée dans la ville d’El Progreso au Honduras qui étudie les relations entre les phénomènes environnementaux et les mouvements de populations.  

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