Emmanuel Macron s’empare du dossier de la fin de vie. Ce lundi soir, le président français a annoncé le lancement d’une convention citoyenne sur le sujet. Quelques heures plus tard, le Comité consultatif national d’éthique publiait un avis ouvrant la voie à une évolution vers une « aide active à mourir ».

Faut-il aller plus loin que la loi de 2016 qui autorise la « sédation profonde jusqu’au décès » ? Faut-il s’inspirer de la Belgique qui légalise l’euthanasie ou de la Suisse qui permet le suicide assisté, comme l’a mis en lumière la mort ce mardi du cinéaste Jean-Luc Godard ? Quels freins perdurent ?
Pour en débattre :
- Valérie Depadt, maître de conférences en Droit privé spécialisée en Biomédecine, membre de la Mission Sicard sur la fin de vie
- Claire Fourcade, médecin et présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap)
- Jean-Luc Romero, président d’honneur de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (Admd), adjoint à la mairie de Paris.

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