Débat du jour

L’OTAN est-elle dissuasive ?

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« Les Alliés membres de l'Otan ne fournissent pas assez de munitions à l'Ukraine et cela a des conséquences sur le champ de bataille tous les jours », a déclaré ce jeudi (14 mars 2024) le secrétaire général de l’Alliance atlantique Jens Stoltenberg. Mais face au risque d’escalade, l’OTAN peut-elle en faire plus ? Alors que le 75è anniversaire de l’Alliance approche, quelle doit être l’action de l’organisation ? La Russie craint-elle l’OTAN ? Quid de l’avenir de l’Alliance confrontée au risque d’affaiblissement des États-Unis ?

Le ministre ukrainien de la Défense, Rustem Umerov, participe à une réunion à distance, lors d'une réunion du Conseil de l'OTAN sur l'Ukraine en session des ministres de la Défense au siège de l'organisation à Bruxelles, le jeudi 15 février 2024.
Le ministre ukrainien de la Défense, Rustem Umerov, participe à une réunion à distance, lors d'une réunion du Conseil de l'OTAN sur l'Ukraine en session des ministres de la Défense au siège de l'organisation à Bruxelles, le jeudi 15 février 2024. © Virginia Mayo/AP
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Pour en débattre :

- Samantha de Bendern, chercheuse au Département Russie-Eurasie à la Royal Institute of International Affairs (Chatham House)

- Jean-Paul Paloméros, ancien chef d'État major de l'Armée de l'air française et ancien commandant suprême de l'Otan.

- Cyrille Bret, chercheur associé à l’Institut Jacques Delors et fellow de l’Institut Montaigne, co-auteur du site Eurasiaprospective.net.

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