Comment s’inspirer des littératures orales africaines pour revoir notre relation au vivant?
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Des chants du rituel lamal du Kenya au conte du chasseur trop adroit d’Afrique de l’Ouest, des productions littéraires orales d'Afrique encouragent une relation des êtres vivants moins prédatrice du monde. Une vision loin d’être dominante, alors que les ressources naturelles manquent et que les derniers rapports alarmants du GIEC, nous poussent à revoir notre relation au vivant. Comment nous inspirer des contes, chants et mythes africains pour revoir notre rapport au vivant ?

Comment des productions orales de ce type peuvent-elles prendre sens dans les préoccupations environnementales actuelles ? À l’occasion du colloque « Humains et non humains dans les arts de la parole en Afrique », organisé par ISOLA (International Society for the Oral Literatures of Africa), tour d’horizon de ces productions et analyse de leur message.
Invités :
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Cécile Leguy, professeure d’Anthropologie linguistique, présidente d’ISOLA et organisatrice du colloque « humains et non-humains dans les arts de la parole en Afrique » à l’INALCO
- Amar Ameziane, chargé de cours de langue et littérature berbères à l'INALCO, auteur.
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