On les appelle les survivants. Des pompiers, policiers, secouristes, ouvriers qui étaient en 1ère ligne le 11 septembre 2001. Durant des semaines, 24 h sur 24, ils participent aux opérations de secours, puis de nettoyage, 20 ans plus tard, ils sont des milliers à avoir développé des maladies à cause de la poussière et des fumées qu’ils ont inhalées à ce moment-là. Des maladies qui, au fil des années, ont fait plus de morts que les attentats eux-mêmes. Une communauté qui a dû se battre pour être prise en charge.
