Grand reportage

«Le supplément du dimanche» du 21 septembre 2025

Publié le :

Le Grand reportage week-end de ce dimanche est consacré en première partie à la Tunisie sur la grande route de l'immigration Sud-Nord. La Tunisie qui refuse d'être un pays d'accueil et un pays de transit pour les migrants subsahariens. Le président Kais Saïed étant même allé jusqu'à considérer qu'il y avait un risque de changement démographique pour la Tunisie à cause de cette immigration. Une politique très dure est à appliquer, et elle fait le jeu des Européens. En deuxième partie, nous serons en ligne avec Sarah Cozzolino pour parler du Brésil où les femmes déjouent par l'artisanat la pauvreté de leur région du nord de l'État du Minas Gérais. (Rediffusion)

Grand Reportage week-end
Grand Reportage week-end © Studio graphique FMM
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Tunisie : une lutte contre l’immigration, au bénéfice de l’Europe

La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l’immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières.

Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix.

Un camp de migrants après son démantèlement par les autorités dans la région d'El Hamra à Sfax.
Un camp de migrants après son démantèlement par les autorités dans la région d'El Hamra à Sfax. © Lilia Blaise / RFI

Brésil: l’artisanat, planche de salut, pour les femmes de la vallée du Jequitinhonha

Elle est surnommée la Vallée de la misère. Au Brésil, dans le nord de l’État du Minas Gérais, la vallée du Jequitinhonha s’étend sur 50 000 km2, le long du fleuve du même nom. Elle est connue pour son climat aride et ses populations rurales, la pauvreté pousse une partie des habitants à émigrer. Mais c’est sans compter l’incroyable richesse de l’artisanat de la région, réalisé par ses femmes.

Un Grand reportage de Sarah Cozzolino qui s'entretient avec Jacques Allix.

Tionila a appris à filer le coton à l’âge de six ans.
Tionila a appris à filer le coton à l’âge de six ans. © Sarah Cozzolino/RFI

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