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Migrants rescapés de l’Ocean Viking: «De l'apaisement pour eux, mais aussi de l'inquiétude»

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Les 234 rescapés de l'Ocean Viking, débarqués vendredi 11 novembre dans le port militaire de Toulon après avoir échappé à un naufrage en mer Méditerranée, ont été placés dans un centre de vacances dans le Var, transformé en « zone d'attente » d'où ils ne pouvaient en théorie pas sortir. Mais une semaine plus tard, cette stratégie semble voler en éclats sous le coup de décisions de justice, de départs inopinés des centres d'accueil pour les mineurs et d'imbroglio sur les expulsions.

Des policiers et un membre de la Croix-Rouge s'entretiennent avec des hommes secourus par le navire de sauvetage «Ocean Viking» de l'organisation maritime et humanitaire européenne SOS Méditerranée, alors qu'ils arrivent au camp de vacances de  Hyères, dans le sud de la France, le 11 novembre 2022.
Des policiers et un membre de la Croix-Rouge s'entretiennent avec des hommes secourus par le navire de sauvetage «Ocean Viking» de l'organisation maritime et humanitaire européenne SOS Méditerranée, alors qu'ils arrivent au camp de vacances de Hyères, dans le sud de la France, le 11 novembre 2022. AFP - CHRISTOPHE SIMON
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La députée Renaissance Stella Dupont, rapporteuse spéciale de la mission « Immigration, asile, intégration » auprès de la commission des finances à l’Assemblée nationale a pu leur rendre visite dans la zone d’attente fermée, elle raconte sur l’antenne de RFI ce qu’elle a vu et les procédures en cours ainsi que les conditions d’accueil.

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