Dans «Ginga», Flavia Coelho ravive ses souvenirs d’adolescence
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C’est la plus française des chanteuses brésiliennes. Flavia Coelho vient de sortir son cinquième album Ginga. Ce disque, principalement chanté en portugais, mélange joyeusement les styles.

Reggae, samba, funk, house : cet album est dédié aux musiques qui ont rythmé l’adolescence de Flavia Coelho, du début des années 90 jusqu’aux années 2000. La chanteuse écoutait ces musiques en boucle, dit-elle et parfois même en cachette de son père, sur le petit poste de radio qu'il lui avait offert pour l'aider à s'endormir.
On trouve sur certaines chansons d’irrésistibles touches d’amapiano (ce style venu d’Afrique du Sud et du Mozambique). On peut l’entendre notamment dans Nordestina, une chanson-hommage aux femmes du Nord-Est du Brésil dont elle est originaire...
Le morceau qui ouvre l’album, Mama Santa est dédié à sa mère qu’elle a perdue très tôt à l’âge de 11 ans.
Flavia Coelho vit en France depuis 2006. Elle a commencé à chanter dans le métro parisien et à la terrasse des cafés. Très vite, elle fait des rencontres décisives, notamment avec Victor Vagh qui l’accompagne au clavier depuis ses débuts et qui est aussi son producteur. Il est toujours à ses côtés pour ce cinquième disque. La chanteuse entame une tournée d’une centaine de dates avant un Olympia à Paris le 12 mars 2025.
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