Le coq chante

La nouvelle aire d’abattage de la commune de Sama, au Burkina Faso

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Une aire d’abattage, l’affaire est sérieuse. Les techniciens d’élevage disent qu’il faut s’occuper de la santé animale, pour garantir la santé humaine. Il se trouve qu’au village, on peut acheter une bête malade, l’abattre dans des conditions insalubres, transporter la viande comme on peut. Au final, le consommateur ne sait pas ce qu’il achète et ce qu’il donne à manger à sa famille.

Maxime Bombiri, chef de zone de l’élevage de la commune de Kouka.
Maxime Bombiri, chef de zone de l’élevage de la commune de Kouka. © Sayouba Traoré/RFI
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C’est pourquoi le ministère des Ressources animales et halieutiques du Burkina Faso, à travers le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme dans le Sahel, a initié 7 zones aménagées avec 5 postes vétérinaires, 30 parcs de vaccination, et des aires d’abattage. Amélioration de la santé animale, amélioration de la gestion des ressources naturelles, facilitation d’accès au marché, gestion des crises pastorales, gestion du projet et appui institutionnel, ce projet mis en œuvre dans 6 pays du Sahel par les différents ministères en charge de l’Élevage, vise à lever les obstacles qui empêchent un épanouissement des éleveurs.

Adama Sanou, conseiller municipal de la commune de Kouka.
Adama Sanou, conseiller municipal de la commune de Kouka. © Sayouba Traoré/RFI

Invités

Maxime Bombiri, chef de zone de l’élevage de la commune de Kouka

- Adama Sanou, conseiller municipal de la commune de Kouka.

Production : Sayouba Traoré

Réalisation : Ewa Piedel.

 

Des membres du Comité de gestion de l’aire d’abattage (COGES).
Des membres du Comité de gestion de l’aire d’abattage (COGES). © Sayouba Traoré/RFI

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