Le confort et la sécurité du logement ont un impact sur l’état de santé de ses occupants. Insalubrité, non-respect des normes, précarité énergétique, surpeuplement ; les risques associés à la précarité de l’hébergement affectent tout particulièrement les plus jeunes.
L’absence de logement constitue un déterminant important de surmortalité et d’entrave à l’accès aux soins. Cette précarité en matière d’habitat constitue aussi un facteur de risque sur le plan de la santé mentale.
Comment l’insalubrité agit-elle sur la santé respiratoire ? Où en est la lutte contre l’intoxication au plomb, vecteur de saturnisme ? Comment sont soignées les personnes sans domicile fixe ?
- Dr Mady Denantes, médecin généraliste à la Maison de santé des Pyrénées-Belleville et présidente du Pôle de santé des Envierges, à Paris
- Manuel Domergue, directeur des Études de la Fondation Abbé Pierre et porte-parole du Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement (CAU). Il coordonne depuis 2014, le rapport annuel sur l’état du mal-logement
- Naouelle, infirmière diplômée d’État qui participe au « groupe punaises de lit » à Paris XXe arrondissement
- Mathé Toullier, présidente de l'Association des familles victimes du saturnisme.
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