Reportage Afrique

Côte d'Ivoire: comment le nouchi et la musique remixent le français

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Le sommet de la Francophonie se tient en France jusqu’au 5 octobre. Il y a un peu plus de dix ans, à Abidjan, l’ancien patron de l’OIF, Abdou Diouf, avait ainsi salué la créativité des Ivoiriens pour réinventer la langue française. Elle se retrouve dans la musique populaire qui intègre de plus en plus le nouchi, l'argot de la rue. Pas facile à comprendre pour les « gaous » (« nigauds ») qui débarquent à Abidjan. Sous-titrage avec notre correspondant dans la région.

Nash, alias «La go cracra du djassa» («La fille vaillante du ghetto») – la rappeuse est considérée comme l'une des plus importantes promotrices de l'argot nouchi en Côte d'Ivoire.
Nash, alias «La go cracra du djassa» («La fille vaillante du ghetto») – la rappeuse est considérée comme l'une des plus importantes promotrices de l'argot nouchi en Côte d'Ivoire. © Benoît Almeras/RFI
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