Reportage international

La Hongrie veut accueillir un campus universitaire chinois

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En Hongrie, le Premier ministre nationaliste Viktor Orban ne cesse de faire les yeux doux à la Chine. Son gouvernement a acheté des millions de doses du vaccin chinois, confié à la Chine la construction d’une ligne de train entre Budapest et Belgrade.

Vikor Orban en compagnie du Premier ministre chinois, Li Keqiang, en 2017. Le Premier ministre Hongrois ne cesse de torpiller la politique étrangère de l’Union européenne, en refusant de s’associer aux déclarations qui critiquent la répression des droits de l’homme par Pékin.
Vikor Orban en compagnie du Premier ministre chinois, Li Keqiang, en 2017. Le Premier ministre Hongrois ne cesse de torpiller la politique étrangère de l’Union européenne, en refusant de s’associer aux déclarations qui critiquent la répression des droits de l’homme par Pékin. AP - Szilard Koszticsak
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Viktor Orban ne cesse de torpiller la politique étrangère de l’Union européenne, en refusant de s’associer aux déclarations qui critiquent la répression des droits de l’homme par Pékin. Et voilà qu’il invite l’université Fudan de Shanghai à ouvrir son premier campus européen à Budapest. L’affaire inquiète Washington et suscite un vif débat en Hongrie.

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