Il y a exactement un an le 17 octobre 2019, la population libanaise, et surtout sa jeunesse, descendait dans la rue pour reprendre son destin en main. Une révolution d'abord pacifique et dans la joie avec un seul mot d'ordre : le départ d'une classe politique corrompue.

Un an plus tard la désillusion est immense. Effondrement du système économique libanais, pandémie du Covid-19 et le dernier coup de massue le 4 août l'explosion de 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium dans le port de Beyrouth ont eu raison des plus résistants. Aujourd'hui c'est le sauve-qui-peut au Liban. Parmi les nombreux artistes qui désertent le pays, Randa Mirza et Wael Kodeih sont programmés le 31 octobre à l'Institut du Monde Arabe. Un spectacle de musique et d'images.
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