Ratés et réussites de l'accueil des réfugiés ukrainiens
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Avec les bombardements en Ukraine, des millions de personnes ont cherché refuge partout en Europe : en Pologne principalement, mais aussi en Allemagne, en République Tchèque et en Italie. Comparés à leurs voisins de l'Est, les Pays-Bas ont été beaucoup moins confrontés à l'arrivée de demandeurs d'asile. Et pourtant, les 62 000 réfugiés ukrainiens officiellement inscrits dans le royaume sont au coeur de vives discussions. À La Haye, Antoine Mouteau.
Les Ukrainiens qui avaient trouvé refuge en Bulgarie ont pour certains pris la route du retour : l'accueil qui leur était réservé lors du déclenchement de l'invasion russe, le 24 février 2022, paraît plus tiède aujourd'hui.
Ceux qui avaient été installés dans des hôtels ont été relogés au début du mois sans ménagement : il fallait faire de la place pour les touristes. Les explications à Sofia de Damian Vodenitcharov.
Quand l'accueil des réfugiés est un succès
En Autriche, la population se mobilise pour accueillir au mieux les arrivants, avec un effort particulier dans le domaine de la culture : tous les artistes ukrainiens bénéficient en effet d’un accueil individuel. À Vienne, Céline Béal.
Identité, identités
Dans une France qui vit, depuis des mois, au rythme des campagnes électorales, les questions identitaires restent particulièrement sensibles. Comment faire la France ? Qu’est-ce que l’identité, les identités ? C’est à ces questions qu’ont répondu plus de 200 élèves de collèges et lycées d’Amiens, dans le nord de la France. Ils ont travaillé toute l’année sur le projet « Mes identités, ma France ». Lise Verbeke.
En Catalogne, dans le nord-est de l'Espagne, la question de l’identité est souvent liée à celle de la langue. Et à l'école, la question fait polémique. La région vient d'approuver un décret pour éviter aux écoles d'être sanctionnées si elles n'incluent pas l'espagnol dans leurs salles de classe. Une manière de contourner la législation qui exige qu'au minimum 25% des cours soient enseignés dans cette langue. Les précisions d'Elise Gazengel.
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