L'enjeu de la réinsertion des soldats ukrainiens

Quand l’Ukraine commence déjà à penser à la vie d’après et à la réinsertion des soldats dans la vie civile. Ils sont des milliers à avoir quitté le champ de bataille suite à des blessures, ou à être revenus de captivité. À Kiev, parmi les nombreuses initiatives soutenues par le gouvernement, il y a cette troupe de théâtre, qui leur permet d’exprimer les souffrances et les traumatismes, et de les partager avec le public. C’est le reportage à Kiev d’Emmanuelle Chaze.  

Soldats ukrainiens, dont un blessé, sur la ligne de front de Bakhmout, dans la région de Donetsk, le 30 août 2023. (Image d'illustration) © AP/Libkos

De l'opéra pour la paix

Théâtre à Kiev, Opéra à Rome...

Et si l’art pouvait aussi servir la paix. C’est l’objectif à la fois démesuré mais aussi très concret de l’association Opera for peace, Opéra pour la paix. Cette année, une quinzaine de chanteurs du monde entier, russes, chinois, ukrainiens, sud-coréens, sud-africains ou kosovars se sont formés ensemble à l’académie lyrique. Le but : leur assurer un futur professionnel et en faire des ambassadeurs pour la paix à travers l’opéra italien, c’est le reportage à Rome de Blandine Hugonnet. 

On ne verra pas Famagousta

On quitte le consensus... avec un vrai bras de fer autour d’une série Netflix. La série grecque «Famagousta» raconte le destin des habitants de cette ville chypriote à l’heure de la partition de l’île en 1974... un contexte historique toujours très conflictuel entre la Turquie et la Grèce....Suite à un lobbying intense d’Ankara, la série jugée trop partisane ne sera finalement pas disponible sur le catalogue international de la plateforme, Joël Bronner.  

Une enquête, un débat, et la déclaration qui fait le buzz, on parle de quoi en Europe cette semaine ?  

Franceline Beretti a fait le tour des écrans européens.

On retiendra une enquête de la télévision publique belge, la RTBF, sur des milliers de bébés qui ont été arrachés à leur mère en Belgique entre les années 60 et 80.

Un débat de fond sur la fermeture des frontières en Allemagne et le procès de Matteo Salvini, le vice-président du Conseil italien risque 6 ans de prison pour avoir empêché un bateau de migrants d'accoster à Lampedusa en 2019.