Y a-t-il des risques de dérives dans les méthodes de bien-être?
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Nous parlons ce soir de pratiques de plus en plus diffuses, de la recherche du bien-être qui dérive parfois vers l’isolement, l’emprise de ces gourous 2.0, comme les a appelés le gouvernement français, il y a quelques jours. Ces risques sont au cœur du dernier rapport de la Miviludes, la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires. Le nombre de signalements a grimpé de plus de 30% en un an. Alors comment faire la distinction entre liberté individuelle, liberté de penser et recherche du bien-être, de l’accomplissement personnel et la dérive sectaire, comme le dit ce rapport ?

Pour en débattre :
- Francine Caumel, vice-présidente nationale du Centre contre la manipulation mentale (CCMM)
- Jean-Loup Adénor, journaliste à Marianne, spécialiste des dérives sectaires, auteur avec Timothée de Rauglaudre du livre Le nouveau péril sectaire, aux éditions Robert Laffont
- Nicolas Sajus, psychologue spécialiste de l’accompagnement des victimes de pseudo-thérapies et d’emprise sectaire.
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