Elle est considérée comme la grande gagnante de la chute du président syrien Bachar el-Assad. La Turquie, soutien des nouvelles autorités, a été l’un des premiers pays à rouvrir son ambassade. Ankara s’est également illustré la semaine dernière dans un tout autre dossier, en annonçant un accord entre l’Éthiopie et la Somalie. La Turquie s’affiche-t-elle comme un géant géopolitique de demain ? Comment peut-elle tirer profit de la situation en Syrie ?
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Pour en débattre :
- Bayram Balci, chercheur au CERI-Sciences Po, spécialiste de l'islam dans le Caucase et en Asie centrale
- Marc Pierini, ancien diplomate européen et chercheur au Carnegie Europe, ancien représentant de la Commission européenne en Syrie, Libye, Tunisie et Turquie.
- Gilles Dorronsoro, professeur de science politique à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste des conflits contemporains, auteur du livre Anatomie d’une guerre civile (2016)
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