Enchaîner les succès en cinq jours : c’est la mission que s’est donné Donald Trump pour sa première tournée en Asie depuis son retour à la Maison Blanche. Le sommet de l’Asean, l’Association des nations de l'Asie du Sud-Est, à Kuala Lumpur, suivi d’un passage au Japon, puis la Corée du Sud pour le sommet cette fois de l’Apec, la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique. Demain, jeudi, il devrait rencontrer normalement le président chinois Xi Jinping. À chaque fois, on déroule le tapis rouge pour le président des États-Unis qui se félicite des victoires qu’il obtient. Les capitales asiatiques sont-elles forcées de s’aplatir face aux exigences de Donald Trump ? Quels pays sont les plus affectés ? Quelles sont leurs marges de manœuvres ?

Pour en débattre :
- Valérie Niquet, chercheuse à la Fondation pour la recherche stratégique et co-autrice du livre L’Indo Pacifique, nouveau centre du monde, éditions Tallandier
- Elvire Fabry, chercheuse senior en géopolitique du commerce à l'Institut Jacques Delors où elle est rapporteuse du groupe de travail sur les relations UE-Chine
- Emmanuel Véron, spécialiste de la Chine contemporaine et membre de l’Institut français de recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAE).
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