À l’issue des conquêtes coloniales, les puissances colonisatrices ne se sont pas seulement approprié des territoires et des biens culturels : elles ont aussi collecté des paroles.

Retranscrites de l’oral à l'écrit, d’une langue à l’autre, d’un contexte culturel à un autre : que reste-t-il de la parole originelle ?
Invitée : Éléonore Devevey, maître-assistante à l'Université de Genève, département de langue et de littérature françaises modernes et coordinatrice de la revue Gradhiva qui consacre son numéro sur ces paroles déformées ou perdues.
Et la chronique de Lucie Bouteloup : La puce à l'oreille. Une chronique en partenariat avec les éditions Le Robert.
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