Tableau de Van Gogh aspergé de soupe à la tomate à Londres ou activistes collées à un poteau soutenant le squelette d’un dinosaure à Berlin, les actions coup de poing de militants écologistes se sont multipliées ces dernières semaines. En France, des manifestations émaillées de violence pour protester contre le chantier de méga-bassines d’eau dans les Deux-Sèvres continuent de provoquer la colère du gouvernement. .

Ce mercredi, la Première ministre Elisabeth Borne a par ailleurs dénoncé «des scènes inacceptables et profondément choquantes». Précédemment, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avait parlé d’ «éco-terrorisme». Face à l’urgence de la situation faut-il s’attendre à de plus en plus de radicalité ? Pour quelles conséquences ?
Pour en débattre :
- Loïc, militant écologiste, citoyen soutenant Dernière Rénovation
- Stéphane La Branche, sociologue du climat, coordonnateur scientifique du Gieco-IPBC, groupe d’experts sur l’évolution des comportements
- Sylvie Ollitrault, directrice de recherche au CNRS, spécialiste du militantisme écologiste, auteure du livre Militer pour la planète : sociologie des écologistes (Presses universitaires de Rennes, 2008) et co-auteure du livre La désobéissance civile (Les Presses de Sciences Po, 2012)

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