Début novembre 2021, Daniel Ortega devenait pour la 4ème fois consécutive président du Nicaragua, à l’issue d’une élection non reconnue par les États-Unis et l’Union européenne. Le même jour, des manifestations dénonçaient ce scrutin, notamment au Costa Rica qui accueille plus de 100.000 Nicaraguayens en exil. Et le phénomène s’est accéléré ces derniers mois: la répression pousse des opposants politiques, mais aussi des paysans, des défenseurs des droits de l’homme, des journalistes, ou des médecins, à trouver refuge dans ce pays, au risque de crisper la population locale.
«Costa Rica : terre d’exil pour les Nicaraguayens», un Grand reportage signé Marie Normand.
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