Grève générale et manifestations en Argentine
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Les principaux syndicats du pays appellent à des protestations dans tout le pays pour dénoncer les mesures ultralibérales et anti-sociales adoptées le mois dernier (décembre 2023) par le nouveau président Javier Milei.
Parmi les réformes les plus critiquées, le décret de dérégulation massive de l’économie qui annule ou modifie plus de 300 normes et lois argentines, la loi « omnibus » qui prévoit des changements concernant la fiscalité, les lois fiscales et électorales ou encore la déclaration de l’état d’urgence en matière d’économie, de finances, de retraites, d’impôts, de santé, de sécurité et d’énergie. Un mot d’ordre : le retrait de l’État au profit du marché.
« Notre démocratie est en danger, commente la présidente des Grands-mères de la place de mai, car le pouvoir exécutif prétend non seulement modifier et abroger des lois mais veut en plus s’arroger des prérogatives qui ne lui appartiennent pas. La démocratie repose sur la division claire et nécessaire des pouvoirs et la recherche de consensus. » Les syndicats, eux, dénoncent des atteintes au droit de grève et de manifestation ce mardi (23 janvier 2024) alors que la fameuse loi « omnibus » doit être soumise au vote des députés cette semaine. La formation politique du président est très minoritaire mais Javier Milei a fait quelques concessions pour essayer de s’attirer les votes de la droite traditionnelle, en réduisant de moitié par exemple la période pour laquelle il demande des pouvoirs exceptionnels.
Donald Trump, vainqueur une nouvelle fois dans le New Hampshire
L’ancien président s’est imposé lors de la deuxième primaire du parti républicain, confirmant son statut d’ultra-favori avec 11 points d’avance sur sa rivale, Nikki Haley. Mais l’ancienne ambassadrice des États-Unis à l’ONU ne jette pas l’éponge et cela énerve Donald Trump dont un conseiller estime qu’elle lui fait perdre du temps et une énergie qu’il pourrait consacrer à la campagne contre Joe Biden.
Le festival de jazz de Port-au-Prince commence cette semaine
Événement incontournable en Haïti et véritable « acte de résistance » selon les organisateurs, le Papjazz propose jusqu’à dimanche (28 janvier 2024) des concerts et des projections ainsi que, pour la première fois, une collecte de déchets et des ateliers pour enfants. Dans le contexte de grande insécurité actuelle, les organisateurs ont décidé d’éviter les rassemblements à l’extérieur, de réduire la durée du festival et de sécuriser les concerts avec une plus grande présence policière.
Le journal de la 1ère
Les gros consommateurs d’électricité en Martinique n’apprécient pas l’augmentation annoncée des tarifs de l’énergie.
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