FÜLÜ, « esprit sauvage » en swahili, c’est le nom du premier album éponyme de ce collectif toulousain. Ce Brass Band ouvre le champ de tous les possibles à la musique en tissant des liens entre électro, afrobeat, jazz, transe carnavalesque et techno. Un bouillon de culture super vitaminé, mijoté par sept musiciens portant sur scène des masques d’animaux en bois pour raconter des histoires d’un autre monde, celui de notre rapport à l’au-delà, à l’onirique. Avec ce coup d’essai, le groupe dépeint un univers sonore hybride, narratif et dansant. Chose rare dans un monde de standardisation !
