Sur le pont des arts

Avec «Stanislas», Simon Liberati se livre sur 12 ans de harcèlement

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Sur la photo du premier communiant, en bandeau du récit, le sourire est là. Et sous la frange brune, le regard amusé se plante sans complexe dans l’objectif. C’est pourtant le récit de 12 années de bagne que nous promet Simon Liberati dans Stanislas.

Simon Liberati a passé 12 années dans l'établissement catholique Stanislas, une des institutions scolaires les plus réputées et les plus courues de Paris.
Simon Liberati a passé 12 années dans l'établissement catholique Stanislas, une des institutions scolaires les plus réputées et les plus courues de Paris. © JF Paga
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12 ans passés entre les murs épais de l’une des institutions scolaires les plus réputées et les plus courues de Paris: le collège Stanislas. C’était avant les polémiques du XXIè siècle, bien avant. Les années 1960, 70... La mue de la société française d’après mai 68 pour arriver à ce que l’auteur qualifie de « hideuses années 80 ». Un récit personnel donc mais aussi le portrait sensible d’une époque.

Simon Liberati est l'invité de Sur le pont des arts. Stanislas a paru chez Grasset.

Au programme de l'émission :

Chronique Pionnières de la culture

Marjorie Bertin nous parle d’une pionnière du féminisme dans le monde arabe, morte en 1941, la poétesse libano-égyptienne May Ziadé.

 

 Reportage

Moïse Gomis, correspondant de RFI au Nigeria, est allé à la rencontre d’Ochai Ogaba qui a fondé et assure la direction artistique de la MudArt Dance Company, un ensemble de danse contemporaine. Il y a suivi Ochai et ses huit danseurs pendant une séance intense de répétition.

 

Playlist du jour

Jowee Omicil feat. Lulu Gainsbourg L'intranquillité

Lubiana - Farafina mousso.

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