Le pianiste de jazz franco-israëlien Yaron Herman est l'une des têtes d'affiche de la 22ᵉ édition du Festival Jazz à Saint-Germain. Il viendra présenter son nouvel album « Alma », composé de titres complètement improvisés.

Il est un pianiste dont la virtuosité n’écrase pas l’originalité. Le répertoire de Yaron Herman, lauréat d’une Victoire de la Musique en 2008, est résolument éclectique. On y trouve de la pop, avec une adaptation remarquée de « Toxic » de Britney Spears ou de « Message in a bottle » de The Police ; du classique avec des compositeurs comme Gabriel Fauré ; ou du rap, comme lors de cet étonnant concert à Marigny avec Oxmo Puccino.
La liberté du jazzman qu’il est, en solo, en duo ou en trio, en tant que leader ou en sideman du saxophoniste français Raphaël Imbert, du guitariste argentin Dominic Miller, de la chanteuse malienne Fatoumata Diawara, ou aux côtés de Mathieu Chedid, Yaël Naïm, Avishaï Cohen, Michel Portal et tant d’autres noms du jazz.
Yaron Herman ouvrira après-demain soir la 22ᵉ édition du festival « Jazz à Saint-Germain des Prés », en donnant deux concerts dans la Cour d’Honneur de la Monnaie de Paris. Son dernier album est une expérience toute nouvelle pour lui. Il regroupe 17 titres complètement improvisés. En concert, il en a l’habitude, en studio, c’est la première fois.
« Alma », son nouvel album, est disponible chez Naïve.
Reportage : Direction Vienne en Autriche, où le Kunst-Historisches Museum propose une exposition originale intitulée « Maîtres nus ». Elle met en parallèle les œuvres du peintre allemand contemporain Baselitz avec celles des maîtres anciens présents dans la riche collection du musée viennois, autour d’un sujet central : le nu. Isaure Hiace a visité l’exposition pour VMDN.
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