Quelles voix pour la recherche africaine au féminin ?
Publié le :
Elles travaillent au Sénégal, au Cameroun et au Tchad, elles étudient les sciences politiques, l’histoire des tirailleurs sénégalais, les plantes médicinales ou encore la grande muraille verte ! À quelles difficultés, à quels préjugés ces scientifiques font-elles face ? Réponses sous forme de portraits croisés de chercheuses africaines...

Avec :
Mame Penda Ba, professeure en science politique à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis au Sénégal. Fondatrice et directrice du Laboratoire d’analyse sociétés et pouvoirs/Afrique-Diasporas (LASPAD) et à ce titre rédactrice en chef de la toute nouvelle revue scientifique africaine internationale et pluridisciplinaire Global Africa.
Et les témoignages de :
- Minda Mahamad Saleh, chercheuse Tchadienne en écologie végétale à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Elle est la première tchadienne à mener des recherches sur la grande muraille verte.
- Aby Tine, doctorante sénégalaise. Elle prépare une thèse sur les statistiques des tirailleurs africains recrutés lors des Première et Seconde Guerre mondiale.
- Hadidjatou Daïrou, doctorante camerounaise en physiologie cellulaire à l'Institut de recherches médicales et d'études des plantes médicinales, lauréate du Prix jeunes talents L'Oréal-Unesco pour les femmes et la science. Sa thèse porte sur les propriétés médicinales de la plante Garcinia kola dans le traitement des maladies cardiovasculaires.
NewsletterRecevez toute l'actualité internationale directement dans votre boite mail
Je m'abonne