«L’Éveil du Printemps»: l’adolescence vue par Armel Roussel

Armel Roussel débarque à Paris, au Théâtre de La Tempête, avec sa nouvelle mise en scène de L’Éveil du printemps. La pièce écrite par Frank Wedekind, en 1891, avait été censurée dans l’Allemagne puritaine, en se penchant sur les désirs d’adolescents.

Une scène de «L'Éveil du Printemps», jouée au Théâtre de la Tempête à Paris, le 26 février 2020. © Pascal Gély

Pour sa mise en scène, Armel Roussel a « en tête le pays de mon adolescence et le souvenir de mes 15 ans, lors des bals du 14 juillet ou du 15 août. Je me souviens d’un endroit où l’intime et l’extime se confondent, où tout le monde se connaît si bien que tout se sait mais que rien n’est dit ».

Les auditeurs de l’émission connaissent bien Armel Roussel. Depuis 2016, il dirige le cycle de lectures Ça va, ça va le monde pour RFI au Festival d’Avignon.

L'Éveil du printemps est joué au Théâtre de la Tempête jusqu'au 29 mars 2020.

Choix musical : « Je disparais dans tes bras », Christine & the Queens.

Et la chronique En bons termes avec Pierrette Crouzet-Daurat, cheffe de mission à la Délégation Générale à la Langue Française et aux Langues de France.