Les NGT (nouvelles techniques génomiques) font de plus en plus parler d’elles. Il s’agit, par exemple, de prendre un caractère du blé chez une autre variété, et le copier. Sans insertion d’ADN étranger à la différence des OGM première génération. La Commission européenne propose que les plantes issues des NGT puissent être traitées comme leurs homologues conventionnelles, ce qui entraîne une levée de boucliers de la part d’ONG. Faut-il considérer les NGT comme des OGM ? Que peuvent-elles apporter à l’agriculture ? Quels sont les risques ?

Pour en débattre :
- Cécile Barbière, porte-parole de l’ONG Pollinis pour la protection des abeilles et des pollinisateurs. Ils ont remis une pétition, avec d'autres organisations, réunissant 420 000 signatures au cabinet de la Première ministre au mois de février. Les signataires s'opposent à la dérégulation des nouveaux OGM
- Quentin Le Guillous, agriculteur en grande culture passé en agriculture de conservation, installé à l’ouest de Paris, et membre du syndicat Les jeunes agriculteurs.

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