De vive(s) voix

Littérature: «Baldwin, Styron et moi», de Melikah Abdelmoumen

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Un écrivain blanc, petit-fils d’esclavagiste, peut-il se glisser dans la peau d’un esclave ? William Styron, pourtant encouragé par James Baldwin avait-il le droit d’écrire «Les confessions de Nat Turner» ?

Mélikah Abdelmoumen.
Mélikah Abdelmoumen. © Sandra Lachance
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Peut-on alors parler d'appropriation culturelle ?

Invitée : Melikah Abdelmoumen, autrice québécoise, son dernier roman «Baldwin, Styron et moi» est publié aux éditions Mémoire d’encrier.

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